De sa vie, nous ne savons que peu de choses, hormis un sobriquet trivial, une notoriété internationale, et des chansons audacieuses : complaintes sulfureuses d’un érotisme défiant l’ordre moral, et le politiquement correct. Elle incarnait une « société subalterne », dénigrée par l’Algérie post– indépendante du FLN. Pourtant, Rimitti a soutenu et a chanté la révolution, à l’heure où le pays suintait le sang et la poudre.
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