Sa liberté dérobée, puis vraisemblablement retrouvée, l’esclave affranchi des oasis Sahariennes, se trouve aujourd’hui, au purgatoire de sa condition. Souvent représenté khôl aux yeux, et thé à la bouche, parfois attaché à la scelle d’un méhari, galopant fièrement entre passé et présent, il a longtemps nourrit de sa sueur, l’encrier des orientalistes et officiers colons.

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